Très appréciés au Suriname, les poissons comme le machoîran jaune, l'acoupa, le vivaneau ou la courbine se font de plus en plus rares dans les eaux territoriales(*). En particulier le machoîran est devenu introuvable, selon les experts mandatés par le gouvernement et doit être recherché au large du Venezuela.
"La situation est critique. Si vous vous renseignez auprès des poissonniers, ils vous diront comme ces espèces sont devenues difficiles à trouver et comme elles sont devenues chères. Si cela continue, de nombreux petits pêcheurs devront se reconvertir en agents de sécurité", a déclaré Mario Ijspol, de la sous-direction de la pêche au ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche.
Udo Karg, le Vice-président de l'Association des produits de la mer (SSA, Surinaamse Seafood Associatie) parle de surpêche, et raconte comment l'industrie se résigne à regarder avec tristesse les pêcheurs étrangers piller les ressources locales. Même si le gouvernement précédent a commencé à mettre en place ce qu'il a appelé "un début de surveillance de la côte", il n'y a pas eu de suite par manque d'argent.
La suite sur http://www.politique-suriname.com
"La situation est critique. Si vous vous renseignez auprès des poissonniers, ils vous diront comme ces espèces sont devenues difficiles à trouver et comme elles sont devenues chères. Si cela continue, de nombreux petits pêcheurs devront se reconvertir en agents de sécurité", a déclaré Mario Ijspol, de la sous-direction de la pêche au ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche.
Udo Karg, le Vice-président de l'Association des produits de la mer (SSA, Surinaamse Seafood Associatie) parle de surpêche, et raconte comment l'industrie se résigne à regarder avec tristesse les pêcheurs étrangers piller les ressources locales. Même si le gouvernement précédent a commencé à mettre en place ce qu'il a appelé "un début de surveillance de la côte", il n'y a pas eu de suite par manque d'argent.
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